En ce début d’année 2025, je me suis “infiltrée” au sein de la Freebu, une communauté de freelances qui fait parler d’elle. J’ai voulu comprendre ce qui rend cette tribu si spéciale aux yeux de ses membres.
Pendant 5 jours, j’ai donc tenu un journal de bord que je vous livre sans filtre.
Jour 1 : L’onboarding – Je pose mes valises à la Freebu
Je commence l’aventure avec une confession : mon onboarding date en fait d’il y a quelques semaines, avant que chacun ne parte profiter des fêtes de fin d’années et que je n’aille quant à moi digérer sous un plaid. Mais je n’ai pas triché tout du long, la suite se passe bien au moment où j’écris ces lignes 😉
Dès mon inscription sur La Freebu, le ton est donné avec un mail d’Alexandre Lyoen, le fondateur :
“Bienvenue dans la famille ! Pose tes affaires dans un coin et prends donc un cookie 🍪”.
Dans ce mail chaleureux, toutes les infos dont j’ai besoin pour bien démarrer :
- Une présentation d’Alex
- La mission et les valeurs portées par la Freebu
- Une description détaillée des bénéfices et ressources disponibles
- Un guide ultra complet pour construire et développer son activité de freelance
- Des instructions très précises sur l’utilisation des différents outils (Slack, Gather)
Le lendemain, un mail m’expliquera plus en détail l’utilité de chaque outil et canal de communication, une aide précieuse pour les novices.
Premier contact avec la communauté
Ni une ni deux, me voilà connectée au Slack, le QG de la Freebu. Après des présentations en bonne et due forme, je suis accueillie rapidement par les membres, avec beaucoup d’humour et de bienveillance. On sent déjà une énergie enthousiasmante se dégager, j’ai hâte de voir la suite !
J’en profite pour demander de l’aide sur un sujet : Alex, qui connait bien ses membres, s’est assuré de mobiliser les personnes les plus à même de me renseigner, et j’ai ainsi pu avancer rapidement sur ce qui me bloquait.

Les semaines suivantes, la communauté a vécu la fin d’année ensemble tranquillement, sans attentes particulières, sans injonction à être présent à tout prix, mais en prenant des nouvelles les uns des autres pour surmonter le blues de l’hiver.
Jour 2 : L’atelier d’écriture – Première activité de groupe
Après un rappel d’Alex dans le Slack, nous nous retrouvons tous dans le Gather, l’espace de coworking en ligne de la Freebu. Avant d’avoir pu en faire le tour, je me retrouve à caresser un petit chien virtuel qui me suit partout depuis 🥹 Le genre de détails qui me fait fondre instantanément !

Je retrouve donc Magalie, Lowic, Matteo et Alex en visio, dans une atmosphère détendue, mais avec un objectif clair et un format simple mais efficace :
- 15 minutes de partage des objectifs d’écriture (newsletter, blog, réseaux…)
- 45 minutes de rédaction micros coupés
- Un débriefing final
J’en profite pour interroger les membres sur leur rapport à la création de contenu, aux réseaux, etc. Un moment d’échange qui fait du bien et rassure sur le fait qu’on rencontre tous plus ou moins les mêmes problématiques. Je découvre d’ailleurs que ça a donné lieu à une mission entre 2 membres.
C’est parti, 45mn top chrono qui passent comme un éclair, mais avec une motivation dingue. J’ai hâte de partager avec mes nouveaux camarades ma création du jour qui a été bien plus prolifique que d’habitude.
“Posez vos styloooos !”
Après un tour de table pour s’assurer que tout le monde est satisfait de son avancée et du résultat, chacun retourne à ses obligations, mais en restant joignable dans le Gather pour un café ou une question au cours de l’après-midi.
Jour 3 : Une journée calme pour explorer le Slack
Aujourd’hui, le Slack est plutôt calme, j’en profite pour aller explorer l’ensemble des canaux à disposition. Il n’y en a pas des tonnes, juste ce qu’il faut. J’imagine qu’ils ont été créés au fil de l’eau, pour coller aux besoins spécifiques des membres.

- #général : Le cœur battant des discussions
- #présentations : C’est ici qu’on accueille les nouveaux venus
- #partage : On peut y partager ses publications et soutenir celles des autres, sans abus
- #victoires : Je trouve ce canal essentiel pour se motiver au quotidien ! La description nous dit :
“Montre tes muscles 💪 et célèbre avec nous TOUTES tes victoires 🥳 nouveau client, projet terminé avec succès, étape franchie…” - #défouloir : Ici, on lâche prise, et on peut partager “Un coup de gueule 😡 ou un coup de cœur ❤️”.
- #réseaux-sociaux : On y partage techniques et outils pour bien communiquer
- #gather : C’est ici qu’on prévient les copains qu’on est dans l’espace de coworking
Pas de superflu, chaque canal a sa raison d’être et vit en fonction des besoins.
Jour 4 : Le Feu de Camp – Temps fort de la communauté
Depuis ce matin, c’est l’effervescence sur le Slack de la Freebu ! Entre une discussion très intéressante au sujet des réseaux sociaux et le partage des premières victoires de l’année, ce début de journée me met de bonne humeur 😊
- 7h30 : quelqu’un partage une problématique “facturation” 😓
- 9h30 : problème résolu grâce à la force du collectif 🔥
- 13h00 : Il est temps de rejoindre le Feu de Camp mensuel, un moment privilégié entre les membres. Le thème du jour : fixer ses objectifs 2025 !

Après avoir déplacé mon petit personnage dans Gather, je rejoins mes nouveaux camarades qui semblent très heureux de se retrouver ! À tour de rôle, chacun expose ses objectifs de l’année, et des discussions sont lancées autour de chaque idée, chaque problématique, en fonction des métiers de chacun, pour essayer d’aller plus loin ensemble.
Ici, pas de chichis, pas de stratégie miracle, pas de plan à suivre à la lettre ! Alexandre anime ce moment avec empathie, écoutant plus qu’il ne parle, et laissant la liberté à chacun d’intervenir quand il le souhaite.
À 14h, il est temps de filer, mais dans l’émulation, personne ne semble avoir envie de partir… je pense qu’on pourrait rester 1h de plus sans problème si le devoir ne nous appelait pas !
Je reste malgré tout avec certains d’entre eux, pour la bonne cause : j’ai prévu de les cuisiner lors d’une interview en privé, pour savoir ce qu’ils pensent de la tribu quand Alex n’écoute pas 😉

Jour 5 : Bilan – L’essence de la Freebu
Dernier jour d’immersion, c’est l’heure du bilan !
Ce matin, une nouvelle venue nous a partagé un métier qu’on découvrait pour la plupart, autour des jeux vidéos. C’est toujours passionnant de découvrir de nouveaux univers ! Quant à moi, je réécoute avec joie les témoignages que les membres m’ont fait hier, pour pouvoir vous les partager.
Pour ne rien vous cacher, ces quelques jours m’ont vraiment fait du bien, et je garderais probablement un pied dans la communauté.
Pendant ma période d’observation, j’ai pu constater :
- Une grande disponibilité du fondateur
- Des freelances curieux, généreux, aux profils variés
- Un noyau de quelques membres piliers toujours réactifs
- Une mobilisation sincère et spontanée à chaque demande d’aide
- Des conseils réalistes, actionnables, pas de promesses magiques ni de jugements
Si je devais résumer la tribu en une phrase, je dirais que c’est un espace convivial et inclusif, qui tire sa force de l’alignement entre la vision de son fondateur et les aspirations de ses membres : une envie sincère de tisser des liens authentiques et durables.
Et surtout : de la simplicité.
Si vous recherchez une safe space en ligne à taille humaine, pour vivre votre meilleure vie d’indépendant.e, allez donc découvrir la Freebu !
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La Freebu est ouverte à tous les freelances, peu importe le secteur d’activité, l’essentiel est de se reconnaitre dans la description et les valeurs citées plus haut. L’accès est 100% gratuit pour le moment.
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